Depuis quelques semaines, j'ai des douleurs dans ma jambe gauche (un peu comme douleurs sciatiques) qui partent et reviennent au fil des jours. Nous sommes partis à Porto le week-end du 12 octobre et dans l'avion, j'avais déjà mal, mais cela reste.
Nous avons le samedi bien marché dans Porto (28 000 pas donc 20 km à pieds), avec des escaliers. Résultat : un épanchement de synovie, douleurs au genou gauche et limite impossible à plier à la marche le soir. Le lendemain, mon mari ayant pitié de moi, a décidé de prendre plus les transports en commun pour ménager mon genou. J'avais toujours mal à ma jambe gauche aussi.
Le week-end se passe, et je constate mon genou qui est gonflé et donc qui confirme l'épanchement. La semaine dernière reprise du boulot donc plus de repos mais toujours ma jambe douloureuse. Je contacte l'infirmière SEP, et lui explique mes problèmes, elle penche plus pour un problème sciatique ou rhumatisme, me dit que l'épanchement de synovie n'a rien à voir avec la SEP et écarte clairement une poussée, et me conseille de consulter mon médecin.
Je prends rendez-vous le mercredi pour lundi 21/10 à 08h30. Je me rends compte le vendredi que c'est son remplaçant qui consulte car il est en congé. Bon je ne connais pas le remplaçant, mais ayant mal je conserve le rendez-vous, d'autant que depuis le jeudi-vendredi, j'ai aussi des douleurs dans les cuisses, comme si elles me brûlaient, et ces douleurs (jambes ou cuisses) sont présentes aussi la nuit et me réveillent ou m'empêchent de dormir.
Donc lundi, je descends chez le médecin (j'habite juste au dessus du cabinet
), j'explique tout au docteur, qui me dit que bon ok le genou c'est pas en rapport avec la SEP, les escaliers de Porto en sont bien l'origine. Mais les douleurs de la cuisse seraient bien dues à la SEP et que cela serait de la SPASTICITE, et que ma douleur dans la jambe serait quand même bien liée, mais qu'il ne pense pas non plus à une poussée, qu'il n'y a pas d'urgence à appeler le neuro. Il me conseille lors de ma prochaine visite chez le neuro de lui en parler (j'y avais pensé aussi). Donc il m'a prescrit un myorelaxant pour 4 jours.Donc je prends conscience de la maladie et de ces implications. Sans compter la fatigue qui est présente très régulièrement, et dont je commence à gérer : si je sors un samedi soir, c'est repos dans l'après-midi et rien le dimanche pour repos aussi, donc je tente de gérer au mieux. Bon il est vrai que l'on te l'explique lors des rendez-vous avec l'infirmière SEP, mais quand elle t'en parle tu dis "oui, c'est sur, mais on verra" et puis cela arrive, donc tu adaptes ton quotidien.
Bon en plus de cela, côté libido, c'est quand même bien au point mort, ce qui m'embête pas mal, car même si mon mari comprend un certain nombre de choses, il s'inquiète quand même de ce changement. Donc va falloir que je trouve une solution, j'ai rendez-vous chez une gynéco-sexo pour m'aider à régler ces problèmes-là aussi.
Voilà les dernières infos.
). Et tu y ajoutes la douleur au genou qui peut de son côté entraîner, plus ou moins consciemment, une compensation "fautive", avec pour résultat de telles conséquences même chez les non-sépiens. J'éviterais donc de tirer des conclusions tant que le problème de genou n'est pas résolu, et effectivement j'en causerais à mon neuro la prochaine fois.
Faut pas hésiter a les écrémer, ceux là.
extra. Donc il apporte du bien être physique et mental et je pense que c'est important de tout prendre en compte.