C'est une histoire qui compte beaucoup !
L'informaticien : Zéro, un, ..., zéro, un, ..., zéro, un, ...
Le militaire : Un, deux, ...., un, deux, ..., un, deux ...
Le fonctionnaire : Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, ...
C'est le meilleur et de loin. Mais il continue, laissons le faire : Huit, neuf, dix, ... valet, dame roi, as.
Savez-vous pourquoi les fonctionnaires ne regardent-ils pas par la fenêtre le matin ?
C'est pour se garder du boulot pour l'après midi !
Les fonctionnaires sont un peu comme les livres d'une bibliothèque.
Ce sont les plus hauts placés qui servent le moins.
Pourquoi les fonctionnaires font-ils leurs manifs en défilant de République à la Bastille à Paris ?
Parce que c'est en descente...
Ne dites pas à ma mère que je suis fonctionnaire,
elle croit que je travaille !
C'est un fermier qui découvre un beau jour que l'une de ses poules ne pond plus que des oeufs carrés.
Décidant d'exploiter cette anomalie spectaculaire, il prévient l'INRA de son cas, lequel vivement intéressé, prend la poule en pension contre une bonne compensation. Le problème, c'est qu'une fois installée à l'INRA, la poule recommence à pondre des oeufs ovales. Convoqué pour constater le fait, le fermier va voir sa poule et lui demande ce qui ne va pas. Laquelle lui répond alors :
"Eh alors... tu crois que j'vais continuer à me casser le cul, maintenant que je suis fonctionnaire ?"
Savez-vous quelle est la différence entre un fonctionnaire et un chômeur ?
Un chômeur, lui, a déjà travaillé.
Les fonctionnaires sont les meilleurs maris :
Quand ils rentrent à la maison, ils ne sont pas fatigués et ont déjà lu le journal.
Que se disent deux fonctionnaires qui se croisent dans le couloir au bureau ?
- Ah ! Toi aussi tu as des insomnies !
Pourquoi les fonctionnaires ne peuvent pas attraper le sida ?
Car il y a 80% de branleurs et 20 % de lèches-cul.
Une belle secrétaire déprimée monte à la cafétéria du 15e étage de la tour de l'UIT et saute dans le vide.
Au 11e, une main l'attrape et la retient. C'est un directeur, qui lui demande de le caresser. Offusquée, la fille refuse. Le type dit : Bon, alors salut ! Et il la lâche. Au 8e, une autre main l'arrête : c'est M. Barboux, qui lui propose la même chose. De nouveau, la fille refuse : Non! Et elle continue à tomber... Au 4e étage, une main l'arrête in extremis. La fille commence à avoir peur de s'écraser et dit au type : OK, je suis d'accord pour vous faire tout ce que vous voulez ! Le type répond : Tu es une salope ! Et il la lâche.