
Donc oui, je vais un peu faire ma pub, et si ça ne se fait pas, n'hésitez pas à supprimer mon post.
Mon premier roman vient d'être édité.
Alors si vous avez envie de vous évader quelques heures, je vous invite dans mon "monde".
A très bientôt
Il y a un second roman en cours d'écriture qui est très loin du premier, c'est une uchronie (c'est basé sur le monde réel mais l'Histoire a connu un évènement qui fait qu'elle n'est pas celle qui l'on connaît) plutôt médiévale, avec des guerriers et des histoires de complots politiques, d'accession au pouvoir... tout en suivant le parcours chaotique d'une princesse qui va connaître la fuite, l'emprisonnement, la guerre... Donc rien à voirDe quoi ça cause ?
Linda travaille dans une pension équestre de bord de mer. Elle mène une vie simple avec pour uniques occupations son boulot et sa jument. Franck Kellermann est cavalier professionnel, tout pour lui, en apparence. Linda va perdre sa jument et sa vie va basculer dans l’absurde. C’est le moment qu’il va choisir pour se rapprocher d’elle, finissant de semer le trouble dans la vie rangée de Linda.
Pourquoi l’histoire qui se dessine est-elle vouée au cauchemar ? Quelle malédiction pèse sur Linda, qu’est-ce qui se cache derrière le sourire du cavalier ?
Loin des clichés de la belle histoire d’amour, ces deux là vont se chercher, s’apprivoiser, se déchirer, mais avancer dans leur combat contre leurs démons respectifs.
Linda nous raconte son histoire, sans concession, sans tabou et... sans aucune objectivité. Ca c’est le moins que l’on puisse dire...
Ok,je vais faire dans la caricature aussi en disant que c'est limite arnaque vu le temps passé pour créer le manuscrit,et que si tu n'as pas d'éditeur,c'est limite du mépris,mais ça n'engage que moi ...Auréline a écrit :Alors soyons bien d'accord, il y a d'un côté les éditeurs à compte d'éditeurs, qui "parient" sur un manuscrit, investissement dedans pour faire couverture, corrections, maquette, impressions, dépôts légaux, publicité... Droits d'auteurs environs 10% (voire moins), le reste est partagé entre les distributeurs qui prennent minimum 30% pour la librairie (faut pas rêver le diffuseur prend sa part aussi) et enfin le reste pour l'éditeur... Au premier livre vendu j'ai commencé à cumuler des droits d'auteurs.
Les éditeurs à compte d'auteurs : c'est l'auteur qui se paye maquette, couverture, corrections, impression et autre... et ça peut être salé, j'ai eu des propositions à 2500 euros... Et là derrière, l'auteur ne retouche que des droits d'auteurs (alors oui, ça peut monter à 30%) sur les livres qu'il a financé lui-même, tout en ayant cédé ses droits... moi j'appelle ça du pigeonnage, car l'éditeur ne prend aucun risque financier (puisqu'il est supporté par l'auteur) et qu'en plus il se fait de l'argent en revendant les livres. J'avais fait un petit calcul... sur le contrat proposé, il aurait fallu que je vende 900 livres pour commencer à rentrer dans mes frais et me dire, whaou je touche mon premier centime....
L'édition numérique, un peu à part, qui permet à l'auteur de toucher 50% de droits d'auteurs voire plus mais avec des prix de vente bien inférieurs au papier... coût pour l'éditeur : la maquette, la couverture, l'hébergement internet, la publicité. Les droits d'auteur sont plus élevés.
L'auto-édition. L'auteur fait tout lui même et fait imprimer par un imprimeur. Son livre lui coûte moins cher qu'en passant par du compte d'auteur, mais il y a généralement un manque de reconnaissance qui fait que l'auto-édité a du mal à participer aux salons et autres manifestations réservées aux auteurs avec éditeurs...
Bon, c'est un peu de la caricature, vous trouverez toujours un contre-exemple, mais en gros ça fonctionne comme ça.