Bonjour,
Nous sommes sur un forum de gens qui ont tous une SEP... Lequel d'entre nous aurait intérêt à raconter des mensonges dans la mesure où nous ne nous connaissons que par clavier interposé???
Ça change quoi pour moi, ici et maintenant (c'est super-long à écrire sans abréviation!!) Si Matula est sûr de ce qu'il dit ou pas? Non que je ne m'y intéresse pas (je me demande effectivement "comment" il peut cacher son état??) mais personnellement, je ne vais que rarement sur les lien et je n'ai pas de Facebook...
Freddes, je te trouve très agressif et Matula se défend déjà depuis longtemps (déjà il y a eu Defcom et ça s'était assez mal fini!) Je pense que maintenant, sans nous obliger à faire comme lui (!) il s'est déjà bien expliqué! Tu as le droit de ne pas suivre, mais ces infos DOIVENT circuler!
Perso, je lis, je crois... mais j'attendrai mes 46 ans (l'âge que j'aurai en 2022)

car même si "on" me dit "courageuse" et "volontaire", je ne suis pas prête à subir le même traitement que Matula!
J'essaie d'envoyer les liens que j'ai (attention, ça peut rater!):
1)
http://www.bulletins-electroniques.com/ ... /77907.htm - Ce bulletin est redigé par l'Ambassade de France a Singapour et est diffuse gratuitement par l'ADIT
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http://www.bulletins-electroniques.com/ ... /77907.htm - Ce bulletin est redigé par l'Ambassade de France a Singapour et est diffuse gratuitement par l'ADIT
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SEP: la greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques supérieure à la mitoxantrone
APM International
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Mardi 17 février 2015 - 11:09
SEP: la greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques supérieure à la mitoxantrone
WASHINGTON, 17 février 2015 (APM) - La greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques s'est montrée supérieure à un traitement pharmacologique par mitoxantrone (Elsep*, Meda Pharma) chez des patients atteints de sclérose en plaques (SEP), dans un essai de phase II, selon une étude à paraître dans Neurology.
Dans cette étude multicentrique menée en Italie et en Espagne, le Dr Giovanni Mancardi de l'université de Gênes et ses collègues ont inclus 21 patients avec une SEP récidivante-rémittente ou secondairement progressive présentant une progression du handicap sur l'EDSS malgré un traitement de fond et une maladie active à l'IRM cérébrale.
Ils les ont randomisés entre une immunosuppression intense suivie d'une greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques et un traitement par mitoxantrone à 20 mg tous les mois pendant six mois.
A quatre ans de suivi, le nombre cumulé de lésions en T2 à l'IRM était en médiane de 2,5 chez les patients traités par cellules souches hématopoïétiques, contre huit chez les patients traités par mitoxantrone, soit une différence statistiquement significative de 79%. Ce résultat était confirmé dans toutes les analyses de sensibilité effectuées.
Aucun des patients traités par cellules souches hématopoïétiques n'a eu de lésion rehaussée par le gadolinium (Gd+) en quatre ans alors qu'ils étaient 56% dans le groupe mitoxantrone à en avoir au moins une.
Le taux annualisé des poussées était de respectivement 0,19 et 0,6, soit une réduction significative du risque de 64% avec les cellules souches hématopoïétiques.
En revanche, la différence n'était pas significative sur le handicap, avec une progression observée à quatre ans de suivi chez 57% des patients traités par cellules souches et 48% de ceux traités par mitoxantrone.
Des études sont en cours qui permettront de confirmer le bénéfice de la greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques, notamment un essai de phase III évaluant cette stratégie chez des patients en échec de traitement par interféron-bêta par rapport aux traitements actuellement homologués, notent les chercheurs.
Ces résultats sont publiés après d'autres données encourageantes pour cette stratégie thérapeutique dans la SEP très active parues récemment dans JAMA et JAMA Neurology notamment, rappelle-t-on (cf APM LD1NIFE96 et APM LD0NHCR1P).
(Neurology, édition en ligne du 11 février)
ld/eh/APM
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LD5NJWSTQ 17/02/2015 11:09 SNC
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SEP: rémission maintenue à trois ans avec une greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques
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Mardi 30 décembre 2014 - 00:01
SEP: rémission maintenue à trois ans avec une greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques
WASHINGTON, 30 décembre 2014 (APM) - Un traitement immunosuppresseur à hautes doses avec greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques permet d'induire une rémission maintenue à trois ans chez des patients atteints de sclérose en plaques (SEP) récurrente-rémittente, selon des résultats intermédiaires d'une étude américaine à paraître dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) Neurology.
La greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques est étudiée dans la SEP depuis plus de 20 ans, dans l'objectif de supprimer les cellules responsables de cette maladie auto-immune et de réinitialiser le système immunitaire. Cette stratégie a d'abord été évaluée chez des patients à un stade avancé de handicap et dans les formes progressives de la SEP, mais il semblerait qu'elle soit plus efficace lorsqu'elle est initiée aux stades précoces de l'inflammation, rappellent le Dr Richard Nash du Colorado Blood Institute à Denver et ses collègues.
Ils rapportent les résultats d'une étude multicentrique de phase II initiée en 2006, toujours en cours, évaluant en ouvert un traitement immunosuppresseur à hautes doses avec greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques auprès de 24 patients atteints de SEP ayant eu une poussée avec déficit neurologique au cours des 18 mois précédents l'inclusion. Les patients doivent être suivis sur cinq ans.
La durée médiane de suivi était de 186 semaines, soit trois ans et demi (entre 3,4 ans et 4,8 ans).
Le taux de survie sans aucun événement, c'est-à-dire ni décès ni aucune activité de la maladie définie par un déficit neurologique confirmé, une poussée ou de nouvelles lésions à l'IRM cérébrale, était de 78,4% à trois ans.
La survie sans progression du handicap et sans poussée était de respectivement 90,9% et 86,3%.
Une amélioration du niveau de handicap a même été observée après la greffe de cellules souches hématopoïétiques, avec une réduction significative de 0,5 point du score EDSS en médiane à trois ans par rapport à la valeur à l'inclusion.
Les chercheurs rapportent également une amélioration significative sur les échelles MSFC pour les fonctions physiques et cognitives et MSIS-29 pour la qualité de vie.
Les effets indésirables observés correspondaient à ce qui était attendu. Aucun effet indésirable neurologique lié au traitement n'est survenu à la phase aiguë.
Ces résultats montrent qu'un traitement immunosuppresseur à hautes doses avec greffe autologue de cellules souches hématopoïétiques permet d'obtenir une rémission de l'activité de la SEP à trois ans chez la plupart des patients dans cette étude. Il apparaît comme "une option thérapeutique potentielle pour les patients en échec de traitement avec les immunothérapies classiques", commentent les chercheurs.
Dans un éditorial, les Drs Mateo Paz Soldan de l'université de l'Utah à Salt Lake City et Brian Weinshenker de la Mayo Clinic à Rochester (Minnesota) observent que, malgré l'efficacité de cette stratégie thérapeutique, des décès sont survenus, même dans de petites études, et que des régimes agressifs ont induit des lymphomes associés au virus Epstein-Barr. La greffe de cellules souches hématopoïétiques ne permet pas de guérir tous les patients et ses bénéfices à long terme restent peu documentés.
(JAMA Neurology, édition en ligne du 29 décembre)
ld/gb/APM
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LD0NHCR1P 30/12/2014 00:01 SNC
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SEP: le composé RPC1063 semble réduire les poussées
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Nouvelle molécule dans le TTT de la SEP
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Mercredi 10 septembre 2014 - 16:28
SEP: le composé RPC1063 semble réduire les poussées
BOSTON, 10 septembre 2014 (APM) - Le composé oral RPC1063, un modulateur sélectif du récepteur 1 de la sphingosine-1-phosphate (S1P1), semble avoir un effet positif sur les poussées chez les patients atteints de sclérose en plaques (SEP) récurrente-rémittente, selon de nouvelles données d'un essai de phase II dévoilées mercredi à l'ouverture du congrès conjoint ACTRIMS/ECTRIMS des comités européen et américain pour le traitement et la recherche sur la SEP, à Boston.
La société américaine Receptos avait annoncé les résultats positifs de cette étude en juin, mentionnant sans donner de chiffres une tendance favorable pour le RPC1063 sur les poussées (cf APM LDRFB003).
Des données plus détaillées sont dévoilées mercredi, en amont de leur présentation en session "late-breaking" samedi, dernier jour du congrès.
Dans cette étude, 258 patients ont été randomisés en double aveugle entre deux doses de RPC1063, à 0,5 mg et 1 mg, et un placebo pour six mois, rappellent les auteurs dans le résumé de leur communication. Ils étaient 98% à achever l'étude.
A son issue, une tendance favorable du taux annualisé des poussées était observée, avec une réduction par rapport au placebo de 53%, à la limite du seuil de significativité statistique, avec la dose de 1 mg de RPC1063 et de 31%, non significative, à la dose de 0,5 mg.
Le nombre de lésions prenant le gadolinium (Gd+) à l'IRM à six mois était en moyenne de 0,3 avec le RPC1063 à 0,5 mg et de 0,2 à 1 mg, contre 3,2 avec le placebo, soit une réduction statistiquement significative de 91% et 94% respectivement.
Le nombre de nouvelles lésions ou de lésions grossies en T2 était en moyenne de 1,4 avec la faible dose de RPC1063 et de 0,8 avec la forte dose, contre 3,2 avec le placebo, soit une diminution significative de 84% et 91%.
Les effets indésirables les plus fréquemment observés avec le RPC1063 étaient des rhinopharyngites, à une incidence inférieure au placebo (respectivement 9,4% pour les doses combinées vs 13,6%), suivies par des céphalées (4,7% vs 9,1%). Les infections urinaires étaient plus fréquentes avec le composé qu'avec le placebo (4,7% vs 2,3%).
Des élévations des enzymes hépatiques ont été observées avec ensuite une normalisation au cours du traitement. Aucun effet indésirable grave, notamment cardiaque, n'est survenu, ajoutent les chercheurs.
Ces résultats suggèrent que le RPC1063 présente un profil bénéfices/risques favorable dans le traitement de la SEP, concluent-ils.
"Nous pensons que le RPC1063 a l'opportunité de devenir le meilleur de sa classe thérapeutique. Notre programme de phase III est bien avancé, le plaçant parmi les plus avancés des modulateur du récepteur 1 de la S1P1 dans la SEP récidivante-rémittente", commente le PDG de Receptos, Faheem Hasnain, mercredi dans un communiqué.
Le premier représentant des modulateurs du S1PS est le fingolimod (Gilenya*, Novartis), premier traitement de fond par voie orale à avoir été homologué dans la SEP, en 2011 en Europe, rappelle-t-on. Actelion a également obtenu des résultats de phase II positifs pour son ponesimod (cf APM FBPJF003) mais développe un nouveau modulateur de S1P1, actuellement en phase I, qui serait plus prometteur.
ld/eh/APM
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LDRIA003 10/09/2014 16:29 SNC
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Traitement de la sclérose en plaques : nouveautés et complications - Revue médicale suisse
http://rms.medhyg.ch/numero-384-page-940.htm
Bonne lecture à ceux qui vont lire!