traiter la douleur et maintenir la mobilité malgré la sep
Posté : 16 mai 2014, 00:46
Bonjour,
Je ne suis pas atteint par cette maladie mais mon amie oui et je souhaite lutter avec elle.
Des symptômes invalidants et qui conduisent la vie parfois vers un enfer on trouve entre autres la douleur et la perte de mobilité.
Il est parfois difficile d'être informer et d'avoir accès à des traitements qui sont souvent hors du champs purement neurologique, mal connus par eux ou considérés comme pas très "orthodoxe". On ne peut pourtant pas se contenter d'une seule approche. De même il est peu question de réadaptations; où sont les lieux et les spécialistes qui prennent réellement en compte le fait qu'il soit possible de lutter et de résister contre ce que la plupart des thérapeutes considèrent comme une fatale dégradation menant à s'assoir dans un fauteuil pour arrêter de souffrir?
Ma première question concerne un médicament: la ritaline.
Il semblerait selon ce qu'en écrivent nos amis canadiens que ce produit favorise bien la possibilité de concentrer son attention sur la marche et de retrouver un bon dynamisme.
Qu'en penser sur le long terme? Y a t'il beaucoup de neurologues en France qui tente cette prescription?
Je lance le sujet en espérant surtout vos lumières car je suis un peu perdu. Par exemple concernant aussi la douleur on entend souvent que l'on sait maintenant lutter efficacement contre elle mais mis à part le doliprane ou l'ibuprofène ou encore les médicaments agissant strictement sur le système nerveux toutes les autres prescriptions semblent tabous car dangereuses, addictives, avec accoutumance et finalement inefficaces sur la durée.
Merci
Je ne suis pas atteint par cette maladie mais mon amie oui et je souhaite lutter avec elle.
Des symptômes invalidants et qui conduisent la vie parfois vers un enfer on trouve entre autres la douleur et la perte de mobilité.
Il est parfois difficile d'être informer et d'avoir accès à des traitements qui sont souvent hors du champs purement neurologique, mal connus par eux ou considérés comme pas très "orthodoxe". On ne peut pourtant pas se contenter d'une seule approche. De même il est peu question de réadaptations; où sont les lieux et les spécialistes qui prennent réellement en compte le fait qu'il soit possible de lutter et de résister contre ce que la plupart des thérapeutes considèrent comme une fatale dégradation menant à s'assoir dans un fauteuil pour arrêter de souffrir?
Ma première question concerne un médicament: la ritaline.
Il semblerait selon ce qu'en écrivent nos amis canadiens que ce produit favorise bien la possibilité de concentrer son attention sur la marche et de retrouver un bon dynamisme.
Qu'en penser sur le long terme? Y a t'il beaucoup de neurologues en France qui tente cette prescription?
Je lance le sujet en espérant surtout vos lumières car je suis un peu perdu. Par exemple concernant aussi la douleur on entend souvent que l'on sait maintenant lutter efficacement contre elle mais mis à part le doliprane ou l'ibuprofène ou encore les médicaments agissant strictement sur le système nerveux toutes les autres prescriptions semblent tabous car dangereuses, addictives, avec accoutumance et finalement inefficaces sur la durée.
Merci